Citations

Déclaration des droits de l’homme et du citoyen 1793 :
« Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est, pour le peuple et pour chaque portion du peuple,
le plus sacré des droits et le plus indispensable des devoirs. »

Ils ont dit :

Abbé Pierre : « L’intégrisme est un refuge pour la misère parce qu’il offre un sursaut d’espérance à ceux qui n’ont rien. Que leur mal disparaisse, et l’intégrisme perdra ses troupes. »
 
John Adams : « Il y a deux manières de conquérir et d’asservir une nation, l’une est par les armes, l’autre par la dette. »
 
Hannah Arendt : « Quand tout le monde vous ment en permanence, le résultat n’est pas que vous croyez ces mensonges mais que plus personne ne croit plus rien. Un peuple qui ne peut plus rien croire ne peut se faire une opinion. Il est privé non seulement de sa capacité d’agir mais aussi de sa capacité de penser et de juger. Et avec un tel peuple vous pouvez faire ce que vous voulez. »
 
Hannah Arendt : « Pour s’implanter, le totalitarisme a besoin d’individus isolés et déculturés, déracinés des rapports sociaux organiques, atomisés socialement et poussés à l’égoïsme extrême. »
 
Julian Assange, lanceur d’alerte : « Ce n’est pas à l’État de savoir tout de ses citoyens, mais aux citoyens de savoir tout de l’État. »
 
Lucie Aubrac, résistante : « Résister se conjugue au présent ».
 
Averroès, philosophe (1126-1198) : « L’ignorance mène à la peur, la peur à la haine et la haine conduit à la violence. »
 
Marcel Aymé : « L’injustice sociale est une évidence si familière, elle est d’une constitution si robuste, qu’elle parait facilement naturelle à ceux mêmes qui en sont victimes. »
 
Raymond Barre : « Le jour où la moitié des électeurs n’ iront plus voter, notre système sera définitivement installé. »
 
Guy Bedos : « La Bourse je m’en fous, j’ai choisi la vie.« 
 
Walter Benjamin, philosophe marxiste : « Chaque montée du fascisme témoigne d’une révolution manquée ».
 
Georges Bernanos : « Il faut beaucoup d’indisciplinés pour faire un peuple libre.« 
 
Georges Bernanos, dans « Munich », 1942 : « On vous affirme maintenant, on vous répétera plus tard qu’il ne faut pas revenir sur le passé. Ce n’est pas nous qui revenons sur le passé, c’est le passé qui menace de revenir sur nous. »
 
Georges Bernanos ; « Hélas ! c’est la fièvre de la jeunesse qui maintient le reste du monde à la température normale. Quand la jeunesse se refroidit, le reste du monde claque des dents. »
 
Louis Blanc : « C’est avec les pauvres que les riches se font la guerre.« 
 
Bossuet : « Nous nous affligeons des effets mais nous continuons à adorer les causes. »
 
Pierre Bourdieu : « L’histoire sociale enseigne qu’il n’y a pas de politique sociale sans un mouvement social capable de l’imposer. »
 
Pierre Bourdieu : « La télévision est le lieu de censures multiples, y compris pour ceux qui les exercent. »
 
Pierre Bourdieu, 1998 : « Qu’est ce que le néolibéralisme ? Un programme de destruction des structures collectives capables de faire obstacle à la logique du marché pur. »
 
Pierre Bourdieu : « Une des propriétés des sondages consiste à poser aux gens des problèmes qu’ils ne se posent pas, à faire glisser des réponses à des problèmes qu’ils n’ont pas posés, donc à imposer des réponses. »
 
Bertold Brecht : « Celui qui se bat peut perdre. Celui qui ne se bat pas a déjà perdu. »
 
Bertold Brecht : « Le fascisme n’est pas le contraire de la démocratie mais son évolution par temps de crise.. »
 
Bertold Brecht : « Le ventre est encore fécond, d’où a surgi la bête immonde.»
 
Bertold Brecht : « Ne vous réjouissez pas de la défaite du monstre car, à travers le monde qui l’installa puis le stoppa, la putain qui l’a engendré est de nouveau en chaleur. »
 
Bertold Brecht : ′′ À quoi bon être contre le fascisme… si rien n’est fait contre le capitalisme qui l’a fait naître ? »
 
Bertold Brecht : « Nos défaites, voyez-vous, ne prouvent rien, sinon que nous sommes trop peu nombreux à lutter contre l’infamie, Et nous attendons de ceux qui regardent qu’ils éprouvent au moins quelque honte. »
 
Bertold Brecht : Ne dites jamais : « c’est naturel » afin que rien ne passe pour immuable.
 
Bertold Brecht : “Dans toute idée, il faut chercher à qui elle va et de qui elle vient ; alors seulement on comprend son efficacité.”
 
Bertold Brecht : “Malheureux les pays qui ont besoin de héros.”
 
Bertold Brecht : « Les démocraties masquent toujours le caractère violent de l’économie. »
 
Bertold Brecht : « Aussi longtemps que le capitalisme existera, aussi longtemps existera la guerre »
 
Jacques Brel : « La pire absurdité est d’accepter ce monde tel qu’il est aujourd’hui, et de ne pas lutter pour un monde comme il devrait être. »
 
Warren Buffet, milliardaire américain : « Tout va très bien pour les riches dans ce pays, nous n’avons jamais été aussi prospères. C’est une guerre de classes, et c’est ma classe qui est en train de gagner ».
 
Warren Buffet : « Oui, il y a bel et bien une guerre des classes, mais c’est ma classe, la classe des riches, qui fait la guerre et c’est nous qui gagnons »
 
Warren Buffet :  » Ma fortune je la dois pour 10 % à la chance, pour 90 % aux travail des autres »
 
George H.W. Bush, 1992 : «  Si le Peuple avait la moindre idée de ce que nous avons fait, il nous traînerait dans la rue et nous lyncherait. « 
 
Joseph Caillaux, ministre des finances de Clémenceau, en 1907 : « Faites payer les pauvres ! Bien sûr, les riches ont la capacité de supporter des impôts plus lourds, mais les pauvres sont tellement plus nombreux… »
 
Albert Camus : « C’est en Espagne que ma génération a appris que l’on peut avoir raison et être vaincu, que la force peut détruire l’âme et que, parfois, le courage n’obtient pas de récompense. »
 
Albert Camus : “Il n’y a ni justice ni liberté possibles lorsque l’argent est toujours roi.”
 
Albert Camus : “La démocratie, ce n’est pas la loi de la majorité, mais la protection de la minorité »
 
Albert Camus : « Faites attention, quand une démocratie est malade, le fascisme vient à son chevet mais ce n’est pas pour prendre de ses nouvelles. »
 
Albert Camus : « Toute forme de mépris, si elle intervient en politique, prépare ou instaure le fascisme. »
 
Fidel Castro : « Le néolibéralisme n’est pas une théorie du développement, le néolibéralisme est la doctrine du pillage total de nos peuples ».
 
Aimé Césaire : « Une civilisation qui s’avère incapable de résoudre les problèmes que suscite son fonctionnement est une civilisation décadente. »
 
René Char, poète : « Quand un homme est broyé et qu’il se tait, c’est un individu normal. S’il proteste et réclame son droit, c’est un révolutionnaire ! »
 
Charb : « La preuve que le communisme a un avenir c’est le temps que passent les médias à dire le contraire. »
 
Hugo Chavez : « Si le climat était une banque, les pays riches l’auraient déjà sauvé ».
 
Noam Chomsky, linguiste – interview à la radio étudiante American Focus : « L’endoctrinement n’est nullement incompatible avec la démocratie. Il est plutôt, comme certains l’ont remarqué, son essence même. C’est que, dans un État militaire, ce que les gens pensent importe peu. Une matraque est là pour les contrôler. Si l’État perd son bâton et si la force n’opère plus et si le peuple lève la voix, alors apparaît ce problème. Les gens deviennent si arrogants qu’ils refusent l’autorité civile. Il faut alors contrôler leurs pensées. Pour ce faire, on a recours à la propagande, à la fabrication du consensus d’illusions nécessaires. »
 
Noam Chomsky : « La propagande est aux démocraties ce que la violence est aux dictatures. »
 
Noam Chomsky : Comment détruire un service public ? Commencez par baisser son financement. Il ne fonctionnera plus. Les gens s’énerveront, ils voudront autre chose. C’est la technique de base pour privatiser un service public.
 
Noam Chomsky , philosophe : « Toute l’histoire du contrôle sur le peuple se résume à cela : Isoler les gens les uns des autres, parce que si on peut les maintenir isolés assez longtemps, on peut leur faire croire n’importe quoi. »
 
Noam Chomsky : « La population en général ne sait pas ce qui est en train de se passer. Et elle ne sait même pas qu’elle ne le sait pas. »
 
Noam Chomsky : « En baissant son financement, il ne fonctionnera plus. Les gens s’énerveront, ils voudrons autre chose. C’est la technique de base pour privatiser un service public. »
 
Eugène Cloutier : « Il y a toujours de la sueur de pauvre dans l’argent des riches. »
 
Eugène Cloutier : « La démocratie bourgeoise est une démocratie du fort contre le faible. »
 
Jean Cocteau : « Il ne faut pas confondre la vérité avec l’opinion de la majorité. »
 
Coluche : « Les sondages, c’est pour que les gens sachent ce qu’ils pensent… »
 
Coluche : « Il parait que la crise rend les riches plus riches et les pauvres plus pauvres. Je ne vois pas en quoi c’est une crise. Depuis que je suis tout petit, c’est comme ça. »
 
Coluche : « On ne peut pas dire la vérité à la télé, il y a trop de gens qui regardent. »
 
Coluche : « Je pense que les pauvres sont indispensables à la société, à condition qu’ils le restent »
 
Coluche : « Les journalistes ne croient pas les mensonges des hommes politiques, mais ils les répètent ! C’est pire ! « 
 
Agatha Christie : « Un peuple de moutons finit par engendrer un gouvernement de loups. »
 
Numa Denis Fustel de Coulanges (historien du 19e) : « L’histoire ne nous dira sans doute pas ce qu’il faut faire, mais elle nous aidera peut-être à le trouver. »
 
Ambroise Croizat en 1946 : « La sécurité sociale est la seule création de richesse sans capital. La seule qui ne va pas dans la poche des actionnaires mais est directement investie pour le bien-être de nos citoyens. Faire appel au budget des contribuables pour la financer serait subordonner l’efficacité de la politique sociale à des considérations purement financières. Ce que nous refusons. »
 
Ambroise Croizat (1901-1951), fondateur de notre Sécurité Sociale : « Ne parlez pas d’acquis sociaux, mais de conquis sociaux, parce que le patronat ne désarme jamais. »
 
Gianfranco Censor : «  Le plus grand succès de notre civilisation moderne est d’avoir su mettre au services de ses dirigeants une incomparable puissance d’illusion. »
 
Georges Clémenceau : « On ne ment jamais tant qu’avant les élections, pendant la guerre, et après la chasse. »
 
Angela Davis : « Être radical » signifie simplement « s’attaquer à la racine d’un problème ».
 
Angela Davis : « Pour détruire les racines du racisme il faut renverser tout le système capitaliste. »
 
Angela Davis : « La répression n’a jamais été aussi violente que lorsque les mobilisations s’opposent au capital ou à l’impérialisme qui est l’une de ses facettes. »
 
Régis Debray : « La course à l’audience est la logique des médias. la course à l’audience des médias sera la logique du gouvernement. »
 
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Charles de Gaulle
 
Jacques Delors, alors président de la Commission Européenne (1985-1995) : « Acceptez le traité de Maastricht et nous ferons l’Europe sociale tout de suite après. »
 
Auguste Detoeuf :  » Les économistes ont raison, disait un homme de Bourse : le capital est du  travail accumulé. Seulement, comme on ne peut pas tout faire, ce sont les uns qui travaillent et les autres qui accumulent. »
 
Jean-Paul Dubois, écrivain, en 2019 : « La démocratie est en train d’élire ses propres tyrans, ses monstres. »
 
Umberto Eco : « Ou se rebeller ou trahir, on ne nous laisse guère le choix, à nous les simples. »
 
Albert Einstein : « Il est plus difficile de briser un préjugé que de briser un atome. »
 
Albert Einstein : « Il ne faut pas compter sur ceux qui ont créé les problèmes pour les résoudre. »
 
Albert Einstein : « Ne fais jamais rien contre ta conscience, même si l’État te le demande. »
 
Albert Einstein : « L’État est notre serviteur et nous n’avons pas à en être les esclaves. »
 
Albert Einstein : « L’obéissance aveugle en l’autorité est le plus grand ennemi de la vérité. »
 
Albert Einstein : « Le Monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal, mais par ceux qui regardent et laissent faire. »
 
Albert Einstein, en 1949 : « Le capitalisme, voilà la source du mal.. »
 
Albert Einstein, en 1949 : « En se servant des moyens de production, l’ouvrier produit des biens qui deviennent la propriété du capitaliste. »
 
Friedrich Engels 1820-1895 : « Un socialiste est plus que jamais un charlatan social qui veut, à l’aide d’un tas de panacées et avec toutes sortes de rapiéçages, supprimer les misères sociales, sans faire le moindre tort au capital et au profit. »
 
Armand Farrachi (écrivain) : « Le principe libéral peut être résumé simplement : quoi que vous ayez à dire, dites-le librement, puisque de toute façon nous n’écoutons pas. »
 
Henry Ford  : « Il est appréciable que le peuple de cette nation ne comprenne rien au système bancaire et monétaire, car si tel était le cas, je pense que nous serions confrontés à une révolution avant demain matin. »
 
Anatole France (à propos de 14-18) : « On croit mourir pour la patrie et on meurt pour des industriels… », dans l’Humanité du 18 juillet 1922
 
Anatole France, en 1908, dans « L’île des Pingouins » : « Après s’être soustraite à l’autorité des rois et des empereurs, après avoir proclamé trois fois sa liberté, la France s’est soumise à des compagnies financières qui disposent des richesses du pays et, par le moyen d’une presse achetée, dirigent l’opinion. »
 
Benjamin Franklin : « Un peuple prêt à sacrifier un peu de liberté pour un peu de sécurité ne mérite ni l’une ni l’autre, et finit par perdre les deux. »
 
Max Frisch :  » Plus terrifiant que le bruit des bottes, le silence des pantoufles. »
 
Eduardo Galeano :  » L’utopie est à l’horizon… Je fais deux pas en avant, elle s’éloigne de deux pas. J’avance de dix pas et l’horizon s’enfuit dix pas plus loin. J’aurai beau avancer, jamais je ne l’atteindrai. A quoi sert l’utopie ? Elle sert à cela : à avancer. »
 
Gandhi : « La vraie démocratie ne viendra pas de la prise de pouvoir par quelques-uns, mais du pouvoir de tous de s’opposer aux abus de pouvoir. »
 
Françoise Giroud : « Ainsi commence le fascisme. Il ne dit jamais son nom, il rampe, il flotte, quand il montre le bout de son nez, on dit : C’est lui ? Vous croyez ? Il ne faut rien exagérer ! Et puis un jour on le prend dans la gueule et il est trop tard pour l’expulser. »
 
Antonio Gramsci : « Quand le vieux monde tarde à disparaître et que le monde nouveau tarde à apparaître, alors dans ce clair obscur surgissent les monstres »
 
Jean-Claude Guillebaud, écrivain : « L’opinion dominante c’est comme une vapeur qu’on respire. C’est une intoxication indolore. »
 
Ernesto Che Guevara : « Soyez réalistes : demandez l’impossible. »
 
Ernesto Che Guevara : « Si tu trembles d’indignation à chaque injustice, alors tu es un de mes camarades. »
 
Ernesto Che Guevara : « On commence à mourir quand on commence à garder le silence face à l’injustice. »
 
Ernesto Che Guevara : « La solidarité est la tendresse des peuples. »
 
Ernesto Che Guevara : « Nous pouvons douter de tout, sauf de notre devoir d’être toujours au côté des humiliés qui luttent »
 
Ernesto Che Guevara : «Les murs les plus puissants tombent par leurs fissures »
 

Ernesto Che Guevara : «Celui qui n’a pas le courage de se rebeller n’a pas le droit de se lamenter »

Friedrich Hegel : »Tout ce que l’homme a appris de l’histoire, c’est que de l’histoire l’homme n’a rien appris. »

Dom Helder Camara, évêque brésilien : « Je nourris un pauvre et l’on me dit que je suis un saint. Je demande pourquoi le pauvre n’a pas de quoi se nourrir, et on me traite de communiste ! »

Victor Hugo : « Voici deux voleurs. Celui-ci est pauvre, et vole les riches. Cet autre est riche, et vole les pauvres. »
 
Victor Hugo : « L’utopie est la vérité de demain ».
 
Victor Hugo« C’est de l’enfer des pauvres qu’est fait le paradis des riches ».
 
Victor Hugo, dans « Les Misérables » : « Bourgeois, croyez-moi, laissons la peur du rouge aux bêtes à cornes. »
 
Victor Hugo : lettre à Lamartine pour expliquer pourquoi il avait écrit  » Les Misérables  » .
« Mon illustre ami,
Si le radical, c’est l’idéal, oui, je suis radical. Oui, à tous les points de vue, je comprends, je veux et j’appelle le mieux ; le mieux, quoique dénoncé par le proverbe, n’est pas ennemi du bien, car cela reviendrait à dire : le mieux est l’ami du mal. Oui, une société qui admet la misère, oui, une religion qui admet l’enfer, oui, une humanité qui admet la guerre, me semblent une société, une religion et une humanité inférieures, et c’est vers la société d’en haut, vers l’humanité d’en haut et vers la religion d’en haut que je tends : société sans roi, humanité sans frontières, religion sans livre. Oui, je combats le prêtre qui vend le mensonge et le juge qui rend l’injustice. Universaliser la propriété (ce qui est le contraire de l’abolir) en supprimant le parasitisme, c’est-à-dire arriver à ce but : tout homme propriétaire et aucun homme maître, voilà pour moi la véritable économie sociale et politique. Le but est éloigné. Est-ce une raison pour n’y pas marcher ? J’abrège et je me résume. Oui, autant qu’il est permis à l’homme de vouloir, je veux détruire la fatalité humaine ; je condamne l’esclavage, je chasse la misère, j’enseigne l’ignorance, je traite la maladie, j’éclaire la nuit, je hais la haine. Voilà ce que je suis, et voilà pourquoi j’ai fait Les Misérables. Dans ma pensée, Les Misérables ne sont autre chose qu’un livre ayant la fraternité pour base et le progrès pour cime. Maintenant jugez-moi. » […]
 
Aldous Huxley : « La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident. La propagande, au contraire, nous enseigne à accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter. »
 
Albert Jacquard : « Le système ne choisit pas les meilleurs, il choisit les plus conformes, c’est dangereux. »
 
Jean Jaurès : « Il ne suffit pas de flétrir et de dénoncer les scandales, il faut dire encore comment on entend les déraciner et en empêcher le retour ».
 
Jean Jaurès : « Donner la liberté au monde par la force est une étrange entreprise pleine de chances mauvaises. En la donnant, on la retire. »
 
Jean Jaurès : « Le capitalisme porte en lui la guerre comme la nuée porte l’orage. »
 
Jean Jaurès : « Il n’y a pas, il ne peut pas y avoir, un fond humain dans l’égoïsme du capitalisme. »
 
Jean Jaurès : « Le courage, c’est de chercher la vérité et de la dire ; c’est de ne pas subir la loi du mensonge triomphant qui passe, et de ne pas faire écho, de notre âme, de notre bouche et de nos mains aux applaudissements imbéciles et aux huées fanatiques. »
 
Jean Jaurès : « Il n’y a qu’un moyen d’abolir la guerre entre les peuples, c’est d’abolir la guerre économique. »
 
Jean Jaurès : « Outre la régression patronale, un des principaux obstacles au progrès social, c’est l’esprit d’inertie, c’est l’esprit de découragement d’une trop grande partie des exploités eux-mêmes »
 
Jean Jaurès (en 1911) : « Que les prolétaires défendent donc vigoureusement les services publics contre les campagnes systématiques de la presse bourgeoise. »
 
Juliette, chanteuse : « Sans partage des richesses, la démocratie n’a aucun sens. »
 
Carl Gustav Jung : « Réfléchir c’est difficile, c’est pourquoi la plupart des gens jugent. »
 
Jomo Kenyatta (1893-1978), président du Kenya de 1964 à 1978 : « Lorsque les Blancs sont venus en Afrique, nous avions les terres et eux, ils avaient la Bible. Ils nous ont appris à prier les yeux fermés ; lorsque nous les avons ouverts, les Blancs avaient la terre et nous la Bible. »
 
Denis Kessler, ex n°2 du MEDEF : « L’Europe est une machine à réformer la France malgré elle. » , dans La Tribune 04/12/00.
 
Etienne de La Boétie : « Ils ne sont grands que parce que nous sommes à genoux. Levons nous ! « 
 
La Boétie, 1576 : « Il est incroyable de voir comme le peuple, dès qu’il est assujetti, tombe soudain dans un si profond oubli de sa liberté qu’il lui est impossible de se réveiller pour la reconquérir : il sert si bien, et si volontiers, qu’on dirait à le voir qu’il n’a pas seulement perdu sa liberté mais gagné sa servitude.. » dans Discours de la servitude.
 
Jean de la Fontaine : « Selon que vous soyez puissant ou misérable, les jugements de cour vous rendront blanc ou noir. »
 
Christine Lagarde, ministre de l’Économie et des Finances en 2008 : « La crise actuelle n’est pas la crise du libéralisme ni du capitalisme ».
 
Lénine : « On a souvent l’occasion d’entendre dire que les propriétaires fonciers et les fabricants « donnent du travail » au peuple , « donnent » un gagne-pain aux pauvres . On dit par exemple que la fabrique voisine ou le domaine voisin « nourrit » les paysans de l’endroit . Or , en réalité , par leur travail , les ouvriers se nourrissent eux-mêmes et nourrissent tout ceux qui ne travaillent pas . Mais pour avoir le droit de travailler sur la terre du propriétaire foncier , à la fabrique ou au chemin de fer , l’ouvrier donne gratuitement au propriétaire tout ce qu’il produit , recevant juste de quoi ne pas mourir de faim. En réalité donc , ce ne sont pas les propriétaires fonciers ou les marchands qui donnent du travail aux ouvriers , mais les ouvriers qui par leur travail entretiennent tout le monde , donnant gratuitement une grande partie de leur labeur ».  LÉNINE , Œuvres complètes , T. 6 , p. 385
 
Abraham Lincoln : « S’habituer aux autres avec des chaînes, c’est accepter un jour de les porter. »
 
KenLoach22mai16_Cannes
Ken Loach, cinéaste : « Les riches soutiennent le fascisme quand ils sentent que leur argent est menacé »
 
Fabrice Luchini : « Quand je vois tous ces gens qui se promènent ou mangent en téléphonant, tout en gardant un œil sur la Bourse, ça me paraît l’image même de la barbarie. »
 
Martin Luther-King : « Nous devons apprendre à vivre ensemble comme des frères, sinon nous allons mourir tous ensemble comme des idiots. »
 
Martin Luther-King : « Nous avons la responsabilité morale de désobéir aux lois injustes. »
 
Rosa Luxemburg : « Il n’y a de liberté pour personne s’il n’y en a pas pour celui qui pense autrement.”
 
Machiavel : « La meilleure forteresse des tyrans c’est l’inertie des peuples. »
 
Alain Madelin, ex ministre libéral : « L’Europe est une assurance-vie contre le socialisme. »,  dans Le Monde 23/06/92.
 
Malcolm X : « Si  vous n’êtes pas vigilant, les médias arriveront à vous faire détester les gens opprimés et aimer ceux qui les oppriment. »
 
Malcolm X : « Si vous continuez à écouter les médias, vous allez finir par vous battre entre pauvres. »
 
Malcolm X : « Les médias sont les entités les plus puissantes sur terre. Ils ont le pouvoir de rendre les innocents coupables et de faire des coupables des innocents. Et c’est ça le pouvoir. Parce qu’ils contrôlent l’esprit des masses.« 
 
Nelson Mandela : « Être libre, ce n’est pas seulement se débarrasser de ses chaînes; c’est vivre d’une façon qui respecte et renforce la liberté des autres. »
 
Nelson Mandela : « Cela semble toujours impossible, jusqu’à ce qu’on le fasse.. »
 
Nelson Mandela : « L’éducation est l’arme la plus puissante pour changer le monde. »
 
Nelson Mandela : « Aucun de nous, en agissant seul, ne peut atteindre le succès. »
 
Nelson Mandela : « Vaincre la pauvreté n’est pas un geste de charité. C’est un acte de justice. Comme l’esclavage ou l’apartheid, la pauvreté n’est pas naturelle. Ce sont les hommes qui la créent et la tolèrent, et ce sont les hommes qui la vaincront. « 
 
Nelson Mandela ; « Tout ce qui est fait pour nous, sans nous, est fait contre nous. »
 
Didier Magnin, de l’Association « Résistants d’hier et d’aujourd’hui » : Aujourd’hui, résister est une nécessité impérieuse, mais résister ne suffira pas pour tracer un monde meilleur : il faut appeler à constituer un programme politique, social, du 21ème siècle, à construire une nouvelle utopie réaliste ! « 
 
Karl Marx : « Une idée devient une force quand elle s’empare des masses ».
 
Karl Marx : « Celui qui ne connaît pas l’histoire est condamné à la revivre ».
 
Karl Marx : « Le capital épuise deux choses : le travailleur et la nature. »
 
Jean Meslier, curé et athée révolutionnaire (1664-1729) : « […] toutes les religions du monde ne sont […] que des inventions humaines, et […] tout ce qu’elles nous enseignent et nous obligent de croire ne sont que des erreurs, des illusions, des mensonges et des impostures inventées, comme j’ai dit, par des moqueurs, par des fourbes et par des hypocrites pour tromper les hommes, ou par de fins et rusés politiques pour tenir par là les hommes en bride et pour faire tout ce qu’ils voudraient des peuples ignorants, qui croient aveuglément et sottement tout ce qu’on leur dit comme venant de la part des dieux. »
 
Yves Messarovitch, journaliste économique à l’Expansion : « De la libération des prix à la flexibilité du marché du travail en passant par la fiscalité, c’est à notre engagement européen, et à lui seul, que nous devons autant de réformes successives que nous n’aurions pas su, ou pas pu mener nous même. » dans le Figaro Magazine du 26/02/02.
 
Dominique Méda : « Le libéralisme n’a plus aucun rapport avec la liberté, et son principe de libre choix n’est qu’un leurre. »

Louise Michel : « S’il y a des miséreux dans la société, des gens sans asile, sans vêtements et sans pain, c’est que la société dans laquelle nous vivons est mal organisée. On ne peut pas admettre qu’il y ait encore des gens qui crèvent la faim quand d’autres ont des millions à dépenser en turpitudes. C’est cette pensée qui me révolte ! « 

Louise Michel : « Il faut bien que la vérité monte des profondeurs du peuple, puisque d’en haut ne viennent que des mensonges. »

Jules Michelet : « Celui qui voudra s’en tenir au présent, à l’actuel, ne comprendra pas l’actuel. »
 
Montaigne : « Les lois se maintiennent en crédit non parce qu’elles sont justes, mais parce qu’elles sont lois. »
 
Montesquieu : « Une chose n’est pas juste parce qu’elle est loi. Mais elle doit être loi parce qu’elle est juste. »
 
Montesquieu : « Les conquêtes sont faciles à faire parce qu’on les fait avec toutes ses forces; elles sont difficiles à conserver parce qu’on ne les défend qu’avec une partie de ses forces. »
 
Montesquieu : « Il n’y a pas de plus cruelle tyrannie que celle que l’on exerce à l’ombre des lois et avec les couleurs de la justice. »
 
Pablo Neruda : « Je veux vivre dans un monde où les êtres seront seulement humains, sans autre titre que celui-là. »

Pablo Neruda : « Ils pourront couper toutes les fleurs mais ils n’empêcheront pas le printemps ».

Yannick Noah (août 2010) : « Plutôt que de s’en prendre aux Roms, on ferait mieux de s’intéresser aux milliardaires qui  continuent à se goinfrer en pleine crise. »

Georges Orwell :« Il est vain de vouloir être antifasciste tout en espérant préserver le capitalisme. Le fascisme, après tout, n’est qu’un développement du capitalisme, et la démocratie la plus libérale ‘comme on dit’ est prête à tourner au fascisme à la première difficulté. »

Georges Orwell : « Un peuple qui élit des corrompus, des renégats, des imposteurs, des voleurs et des traîtres, n’est pas victime ! Il est complice. »

Georges Orwell : « Ce sont les choix politiques qui déterminent exclusivement le crédit qu’on accorde ou non aux atrocités. Chacun croit aux atrocités ennemies et refuse de croire à celles de son camp, sans même prendre la peine d’examiner les faits. »

Octavio Paz : « Toute culture naît du mélange, de la rencontre, des chaos. A l’inverse, c’est de l’isolement que meurent les civilisations. »

Platon : « Ceux qui sont capables de voir au-delà des ombres et des mensonges de leur propre culture ne seront jamais compris, ni crus, par la masse. »

Yves Pouliquen (académicien) : « Nous sommes les héritiers privilégiés des millions d’essais qui façonnèrent, au travers de la chaîne du vivant, ce que nous sommes physiquement et mentalement.
Faut il craindre la profondeur de la nuit d’après ? Ou l’accepter à la manière de Jean Cocteau qui faisait de cette nuit  qui  nous attend l’exacte réplique de celle qui nous précéda et dont nous n’avons guère de mauvais souvenirs?
 
Max Roach, musicien : « Nous souffrons à cause de la stupidité de la petite minorité, égoïste et inhumaine, qui dirige le monde. »
 
Maximilien Robespierre : « Jamais les maux de la société ne viennent du peuple dont l’intérêt est le bien public, mais du gouvernement. »
 
Maximilien Robespierre : « Quand le gouvernement viole les droits du peuple, l’insurrection est pour le peuple le plus sacré et le plus indispensable des devoirs. »
 
Maximilien Robespierre : « S’ils invoquent le ciel, c’est pour usurper la terre »
 
Maximilien Robespierre : « Malheur à nous, si nous n’avons pas la force d’être tout à fait libres, une demi-liberté nous ramène nécessairement au despotisme. »
 
Robespierre
Lytle W. Robinson : « Comme le dit un jour un homme d’esprit, le cannibalisme fit place au capitalisme lorsque l’homme se rendit compte qu’il était plus rentable d’exploiter son prochain que de le manger. »
 
Romain Rolland : « Quand l’ordre est injuste, le désordre est déjà un commencement de justice. »
 
Eleanor RooseveltLe futur appartient à ceux qui croient à la beauté de leurs rêves.

Pierre Rosenvallon, historien et sociologue : « Une société ne peut pas devenir démocratique si elle est gouvernée par les préjugés et l’ignorance d’autrui ».

M.A. Rothschild :  « Permettez-moi d’émettre et de contrôler les ressources monétaires d’un pays et je me moque de celui qui écrit ses lois. »

Jean-Jacques Rousseau : « L’ordre social ne vient pas de la nature, il est fondé sur des conventions. »

Jean-Jacques Rousseau : « La feinte charité du riche n’est en lui qu’un luxe de plus ; il nourrit les pauvres comme des chiens et des chevaux. »

Le curé Jacques Roux en 1793 : « La liberté n’est qu’un fantôme quand une classe d’hommes peut affamer l’autre impunément. »
 
François Ruffin, journaliste : « Comment faire pour que cette lutte des classes ne bloque pas le système libéral ? En créant des luttes, mais entre personnes de mêmes classes, en désignant des boucs émissaires, faire lutter les smicarts contre les bénéficiaires du RMI, les salariés du privé contre ceux du public, les Français d’origine contre immigrés ou les Français d’origine immigrée, voir les Arabes contre les Noirs, mais toujours les pauvres contre les pauvres, les travailleurs contre les travailleurs. »
 
Thomas Sankara : « Il faut choisir entre le champagne pour quelques-uns, et l’eau potable pour tous. »
 
Thomas Sankara : « La peur de l’enfer empêche de réfléchir. L’espoir du paradis encourage l’ignorance des pauvres, ce qui les maintient dans la pauvreté. »
 
Jean-Paul Sartre : « Quand les riches se font la guerre, ce sont les pauvres qui meurent.
 
Wolfgang Schaüble, ministre des finances allemand, après les élections 2015 en Grèce : « Il n’est pas possible de laisser des élections changer le cours des choses. »
 
Arthur Schopenhauer : « Les religions sont comme les vers luisants : pour briller, il leur faut de l’obscurité. »
 
Fredrich von Schiller : « Les grands arrêteront de dominer quand les petits arrêteront de ramper. »
 
Sénèque : « La religion est considérée par les gens ordinaires comme vraie, par les sages comme fausse, et par les dirigeants comme utile. »
 
Léopold Sédar Senghor : « Les racistes sont des gens qui se trompent de colère « .
 
George Bernard Shaw, prix Nobel de littérature de littérature 1925 : « Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent… et pour les mêmes raisons. »
 
Spinoza : « Le grand secret du régime monarchique et son intérêt majeur est de tromper les hommes et de colorer du nom de religion la crainte qui doit les maîtriser, afin qu’ils combattent pour leur servitude comme s’il s’agissait de leur salut. »
 
Spinoza (1632-1677) : « La sauvegarde de la liberté de penser exige une complète laïcité de l’état « .
 
Spinoza, Ethique, livre II : « Les hommes se trompent en ce qu’ils se croient libres ; et cette opinion consiste en cela seul qu’ils ont conscience de leurs actions et sont ignorants des causes par où ils sont déterminés. »
 
Spinoza : « Si vous voulez que le futur soit différent du présent, étudiez le passé. »
 
Sophocle : « Jamais dans une cité les lois n’auraient la force qui convient, si elles n’étaient pas maintenues par la peur. »
 
Sir Josiah Stamp, Directeur de la Banque d’Angleterre 1928-1941 (Réputé 2e fortune d’Angleterre à cette époque)   :  » « Le système bancaire moderne fabrique de l’argent à partir de rien. Ce processus est peut-être le tour de dextérité le plus étonnant qui fut jamais inventé. La banque fut conçue dans l’iniquité et est née dans le pêché. Les banquiers possèdent la Terre. Prenez la leur, mais laissez-leur le pouvoir de créer l’argent et en un tour de mains ils créeront assez d’argent pour la racheter. Otez-leur ce pouvoir, et toutes les grandes fortunes comme la mienne disparaîtront et ce serait bénéfique car nous aurions alors un monde meilleur et plus heureux. Mais si vous voulez continuer à être les esclaves des banques et à payer le prix de votre propre esclavage laissez donc les banquiers continuer à créer l’argent et à contrôler les crédits. »
 
Joseph Stiglitz, prix Nobel d’économie : « Il faut se battre pour maintenir des systèmes publics de protection. Les profits privés doivent contribuer à leur financement. Le rôle de l’État doit être préservé et la gestion démocratique garantie. »
 
Dominique Straus Kahn, directeur général du FMI, le 15 Mai 2008 : « le pire de la crise financière est derrière nous. »
le même, le 13 Octobre 2008 : « le pire de la crise est peut-être derrière nous. »
 
Maurice Thorez, dirigeant communiste : « Plutôt que de nous diviser pour savoir s’il existe un paradis au ciel, unissons nous pour en construire un sur terre. »
 
Léon Tolstoï : « Si un homme a beaucoup plus qu’il ne faut, c’est que d’autres manquent du nécessaire. »
 
Alain Touraine, philosophe europhile, mai 99 : « En France, le mot libéralisme était imprononçable, alors on en a trouvé un autre, Europe. »
 
Desmond Tutu : « Si tu est neutre en situation d’injustice, alors tu as choisi le côté de l’oppresseur. »
 
Mark Twain : « Ils ne savaient pas que c’était impossible, alors ils l’ont fait. »
 
Mark Twain : »Quand les riches volent les pauvres, on appelle ça les affaires. Quand les pauvres se défendent, on appelle ça la violence.« 
 
Maurice Ulrich (l’Humanité février 2019) : « On ne sait pas définir le peuple, mais il y a des moments dans l’histoire où le peuple se définit. »
 
Paul Vaillant-Couturier : « L’intelligence défend la paix. L’intelligence a horreur de la guerre. »
 
Paul Vaillant-Couturier vers 1930, déjà.. : « La presse n’est plus à vendre, elle est achetée. Les trusts et la finance opèrent eux-mêmes dans ses colonnes. »
 
Paul Valéry : « La politique, c’est l’art d’empêcher les gens de se mêler de ce qui les regarde. »
 
Paul Valéry : « La guerre, un massacre de gens qui ne se connaissent pas, au profit de gens qui se connaissent mais ne se massacrent pas. »
 
Jules Vallès : « Le Capital mourrait si, tous les matins, on ne graissait pas les rouages de ses machines avec de l’huile d’homme. »
 
Eugène Varlin, ouvrier imprimeur, membre de la Commune de Paris, 1871 : « Tant qu’un homme pourra mourir de faim à la porte d’un palais où tout regorge, il n’y aura rien de stable dans les institutions humaines ».
 
Jean Vautrin : « Ne finassons pas : deux civilisations s’opposent, le profit ou le partage, il faudra bien trancher. »
 
Françoise Vergès, politologue :  » Le capitalisme néolibéral promet le bonheur et la plénitude tout en détruisant les éléments de ce bonheur. »
 
Voltaire :  » La politique est le moyen pour des hommes sans principes de diriger des hommes sans mémoire. « 
 
Voltaire : « Les religions sont nées quand le premier menteur a rencontré le premier imbécile … »
 
Jean Ziegler : « Étant donné l’état actuel de l’agriculture dans le monde, on pourrait nourrir 12 milliards d’individus sans difficulté. Pour le dire autrement, tout enfant qui meurt actuellement de faim est, en réalité, assassiné. »
 
Jean Ziegler :  » Des enfants meurent à cause des gangsters de la Bourse « .
 
Jean Ziegler« Les 500 plus puissantes entreprises transcontinentales privées ont contrôlé l’an passé 52 % du produit mondial brut, c’est-à-dire de toutes les richesses produites sur la planète. Nous allons vers une reféodalisation du monde ;». (l’Empire de la Honte. Éditions Fayard).
 
Howard Zinn : « Tant que les lapins n’ont pas d’historiens, l’histoire est racontée par les chasseurs. »
 
Howard Zinn, historien : « Historiquement, les choses les plus terribles « guerres, génocides et esclavages » ne sont pas issues de la désobéissance, mais de l’obéissance. « 

Anonyme (ou presque) : « Quand on entend ce qu’on entend, quand on voit ce qu’on voit, et quand on sait ce qu’on sait …   On a bien raison de penser ce qu’on pense ! »

Obeissance

Pour les déclarations et les perles de nos politiques voir le Déclarama de la revue Regards

 

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