Depuis des décennies la France et l’Europe sont dirigés par deux grands blocs, l’un dit « de gauche » l’autre dit « de droite », mais faisant la même politique avec seulement quelques petites variantes et des groupes (clans) différents.
C’est le PSE – Parti Socialiste Européen – et le PPE – Parti Populaire Européen – qui nous ont imposé, ensemble, cette Europe ni démocratique ni sociale, ultralibérale.
En France le PS et l’UMP (ou LR) ont alterné au pouvoir en veillant bien à défendre les mêmes intérêts de l’oligarchie capitaliste.
La déception et la lassitude ont jeté un discrédit sur ces deux mastodontes qui utilisaient le TINA « there is no alternative » pour faire avaler leur politique et décourager toute velléité de changement. Virer l’un pour avoir l’autre ? Pourquoi…
Macron s’est engouffré dans cet espace en se présentant comme « autre chose » alors qu’il n’était que la réunification des deux blocs, l’UMPS comme nous disions. Dans un sens c’est plus clair, l’adversaire ne sera plus à double visage.
« Le gouvernement Macron est salutaire pour une seule raison : il met au jour, de manière définitive, la grande alliance des libéraux de droite et de gauche, l’unicité profonde du système oligarchique. » Joseph Andras, écrivain, auteur de « S’il ne restait qu’un chien ».
« La « révolution » Macron, c’est la Ve République poussé au bout de sa logique d’écrasement du parlementarisme« . Diego Chauvet, journaliste.
« Un autoritarisme libéral qui fleure bon le second Empire ». Patrick Le Hyaric
« Emmanuel Macron incarne la réunification de la bourgeoisie », par Jérôme Sainte-Marie, Politologue, auteur de l’ouvrage le Nouvel Ordre démocratique
Et en avant première, la photo officielle du président pour les mairies, recto et verso