Un système à bout de souffle ! Une démocratie racornie et dégradée.

Impasse due au système présidentiel de cette 5e République Autoritarisme et répression Mensonge n°1 : financement des retraites Mensonge n°2 : sauver le système par répartition Mensonge n°3 : l’exemple des pays voisins Un référendum pour donner la parole au peuple Liens vers articles précédents Impasse due au système présidentiel de cette Ve République Il devient urgent de changer la Constitution de la République Française complétement inadaptée à une pratique démocratique. Le système de l’élection du président de la République est … Lire la suite…

La dette. Une réalité, mais un argument utilisé par les libéraux pour promouvoir l’austérité et empêcher le progrès social.

Lire cet article de JF Ponsot en PDF Le piège de la dette Covid… et sa solution Mercredi 24 Mars 2021 dans l’Humanité, par Aurélien Soucheyre avec Cyprien Boganda L’endettement public a explosé avec la pandémie ? Élus de gauche et économistes déconstruisent la réalité de ce fardeau et appellent à investir face à l’urgence écologique et sociale. C’est une petite dette qui monte, qui monte, qui monte… La crise du Covid a provoqué un surplus d’endettement public de 215 milliards d’euros en … Lire la suite…

Le coût du capital.

Et que font les banques dans les paradis fiscaux ? Quelques exemples (télécharger en pdf) 1% de la population détient 48% des richesses mondiales. +53,5 milliards d’€ en 1 an pour les 10 plus grandes fortunes de France, soit une moyenne de 5 milliards d’€ 5 milliards d’euros, c’est un salaire de 417 000 000 €/mois soit 285 874 fois le Smic  Le « coût du travail » est une aberration pour nous conditionner. Le travail ne coûte pas, c’est lui qui … Lire la suite…

Impasses du capitalisme : une grande banque donne raison à Marx

UNE NOTE DE NATIXIS EXPLIQUE LA SPÉCULATION, LES INÉGALITÉS DE REVENUS, LES CRISES FINANCIÈRES À VENIR…

(ne pas manquer en fin d’article la vidéo d’un quart d’heure, petit cours d’économie politique intitulée Marx revient, par Maurice Ulrich)

Si les capitalistes utilisent la spéculation et réduisent les salaires, c’est, explique l’économiste de la banque Natixis Patrick Artus, pour contrer la baisse tendancielle du taux de profit décrite par Marx. Au risque de déstabiliser l’économie tout entière et de la faire basculer dans la crise.

Personne ne s’attendait à ce que l’offensive vienne de ce côté-là de la barricade. Encore moins du cœur même du capital financier. « La dynamique du capitalisme est aujourd’hui bien celle qu’avait prévue Marx », donne pour titre à sa dernière note pour la banque Natixis l’économiste Patrick Artus. Graphiques à l’appui, celui-ci entend démontrer la réalité décrite par Marx de l’une des contradictions fondamentales du capitalisme et aussi l’un de ses moteurs, connue sous le nom de « baisse tendancielle du taux de profit ». Une des « lois » du capitalisme dont l’existence est la plus contestée par les adversaires du marxisme, sans doute parce qu’elle explique pourquoi le capitalisme porte en lui sa propre crise. Si « les “capitalistes” utilisent les activités spéculatives » et réduisent les salaires jusqu’à la limite du possible, c’est, explique Patrick Artus, pour contrer « la baisse de la productivité du capital » qui menace leurs profits. Au risque de déstabiliser l’économie tout entière et de la faire basculer dans la crise.

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