ET BIEN VOILÀ, JEAN CASTEX OBTIENT SON DIPLÔME DE MACRONISTE.
L’ancien premier ministre Jean Castex placé en garde à vue pour faux, usage de faux et détournement de fonds publics
Corruption : une situation « alarmante » en France,
selon Transparency International
La revue Fakir fait le point et rappelle les principales affaires de la Macronie
La France figure désormais parmi les pays « risquant de perdre le contrôle de la corruption », et « ce signal d’alerte témoigne d’une multiplication des conflits d’intérêts et des affaires de corruption dans un contexte de crise institutionnelle ».
Elle est aussi le théâtre d’une « multiplication des conflits d’intérêts entre l’État et les lobbies ». C’est le dernier rapport de l’ONG Transparency International qui dresse ce constat, dernier fait d’armes de la Macronie…
Le rapport le souligne, d’ailleurs : 26 ministres ou proches collaboratrices ou collaborateurs d’Emmanuel Macron sont impliqués dans des affaires politico-financières depuis 2017.
Un constat terrible pour la démocratie, aussi désespérant qu’inquiétant.
Quand Macron, pour se faire élire, promettait la « République irréprochable »…
On comprend mieux que le chef de l’État ait écarté le principe républicain qui consistait à ce qu’un ministre mis en examen démissionne du gouvernement : il n’aurait plus assez de candidats, parmi ses proches.
Et tant qu’à faire, autant y aller franco : le voilà qui nomme désormais des ministres poursuivis, ou accorde la Légion d’honneur à plusieurs personnalités ayant été aux prises avec la justice.
Sans compter, on allait presque l’oublier, que « le Parquet national financier a récemment ouvert deux informations judiciaires sur les comptes de campagne d’Emmanuel Macron en 2017 et 2022 », rappelle Transparency.
Alors, si on ne peut pas faire la litanie exhaustive des affaires de la Macronie (l’hébergeur de notre site n’a pas assez de place), on vous en remet quelques-unes ici, dont les plus récentes, pour deux ministres en exercice…