Les médias d’extrême droite qui répandent la haine ne lui suffisent pas. Il clôture l’ile du Loch dans le paradisiaque archipel des Glénan et y installe un nervi chargé de pourchasser les visiteurs.
Cela après avoir voulu interdire le passage sur un sentier côtier entre Beg Meil et Cap Coz.
Ces gens là, les capitalistes, se sentent tout permis. Comme les nobles du moyen âge. L’abolition des privilèges du 4 aout 1789 a été suivie par un changement des privilégiés. Et peu de partis luttent contre le capitalisme, le parti communiste et quelques micros partis anticapitalistes bien sûr, mais les sociaux démocrates et leurs alliés cherchent seulement à le rendre moins insupportable…
C’est là qu’il faut aller chercher de quoi éponger la dette et non en tapant sur la santé et sur les services publics comme le font les serviteurs du capital au pouvoir.
un article de Ouest France :
Un appel à manifester contre « l’empire Bolloré » dans l’archipel des Glénan
« Une mobilisation maritime » le 5 octobre 2024, dans l’archipel des Glénan (Finistère) « contre l’empire Bolloré » : c’est l’appel qui circule depuis quelques jours sur les réseaux sociaux.
Ouest-France Modifié le Publié le
Il est question « d’une grande armada festive et colorée rejointe par des voiliers, des zodiacs (sic), des pêcheurs, des pêcheuses ».
Pourquoi aux Glénan ? Le Loc’h (58 hectares) est la plus grande des îles de l’archipel – site Natura 2000 qui s’étend sur 144 hectares.
Le Loc’h est la propriété de la famille Bolloré depuis les années 1920. Le père de Gwen-Aël Bolloré, l’un des 177 hommes du commando Kieffer qui ont débarqué le 6 juin en Normandie et oncle de Vincent, en avait fait l’acquisition. Après le décès de Gwen-Aël, ses enfants en ont hérité.
Une île privée
L’île appartient aujourd’hui à leur cousin, l’homme d’affaires Vincent Bolloré. Le site est interdit au public, sauf les plages situées dans le domaine public maritime. L’été, des messes accessibles aux visiteurs sont aussi organisées au Loc’h.
Le collectif à l’initiative de cet appel à mobilisation accuse l’industriel breton de « s’accaparer une réserve naturelle extraordinaire ». Il trouve aussi « choquant » le « profil » du gardien du site, un militant de l’ultra-droite.
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« Des militants du Sud-Finistère »
Outre les soulèvements de la terre, le collectif « Lever les voiles » dit rassembler « des citoyens et citoyennes, associations et organisations Indignées des pays côtiers de la Mer d’Iroise et du Sud-Finistère (Concarneau, Quimper, pays bigouden…) ». Outre les soulèvements de la terre, le collectif « Lever les voiles » annonce à ce jour « l’inscription de 35 bateaux ».
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Un gardien au passé plus que sombre ?