Les imposteurs.Ils utilisent les failles de la constitution pour continuer leurs méfaits

Menteurs et tricheurs, le gouvernement démissionnaire multiplie les abus de pouvoir !
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Des ministres démissionnaires mais en action sont même allés voter en tant que députés pour empêcher l’élection de André Chassaigne à la présidence de l’assemblée nationale !


Lucie Castets dénonce le deux poids deux mesures du président
Lucie Castets juge « très problématique » le fait que le gouvernement défait dans les urnes prépare un budget en allant « au-delà de la gestion des affaires courantes ».
Pour la candidate du NFP, « ce gouvernement démissionnaire travaille sans légitimité démocratique »
«Je suis extrêmement surprise que le président de la République refuse à la gauche, au NFP, ce qu’il a semblé envisager pour le RN, c’est-à-dire un gouvernement en l’absence de majorité absolue».
La représentante du Nouveau Front populaire va participer à la réunion des chefs de parti avec le président de la République vendredi prochain.
«Tout le monde sait que c’est mort, mais nous devons maintenir la pression sur Macron»
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Insincérité

paar Sébastien Crépel

Oui, mais. Si la solution est évidente, pourquoi continuer de faire semblant en convoquant l’ensemble des partis comme si le résultat des élections n’existait pas ? La méthode même choisie par Emmanuel Macron montre l’insincérité de sa démarche : le président n’a aucunement l’intention de s’en remettre au verdict des urnes, et travaille à une issue qui en est l’exact opposé. Une sorte d’alliance des battus de droite et du centre, ripolinée en coalition gagnante.

Emmanuel Macron n’est pas au-dessus de la Constitution, dont la raison d’être est de faire reculer l’absolutisme des pouvoirs. Le seul trône est celui de la volonté des citoyens, et le chef de l’État n’a d’autre rôle que de s’y soumettre et de la faire respecter. L’initiative de la France insoumise, sous la forme d’un avertissement solennel quant au possible recours à l’article 68 qui codifie la destitution du président de la République par le Parlement, a le mérite de rappeler ce qu’il pourrait en coûter au chef de l’État de manquer à son devoir.