Casse du code du travail

Opération vérité sur la casse du code du travail, dossier de l’Humanité du 16/02/16 – l’intégrale du rapport Badinter – le décryptage de ses dangers – les analyses de spécialistes du droit du travail Dans un interview à Médiapart (19 février 2016), Sophie Béroud analyse  la fuite en avant antisociale et anti-syndicale du gouvernement qui a choisi d’appliquer le programme du MEDEF. Sophie Beroud, chercheuse en science politique, est spécialiste du syndicalisme. à voir sur le blog de Jean-Luc Le Guellec http://www.jlleguellec.fr/casse-du-code-du-travail-le-programme-du-medef-est-applique/ … Lire la suite…

Non à la privatisation des barrages hydrauliques qui sont un bien public

Signer la pétition « contre la mise en concurrence des concessions hydrauliques » sur www.petitionpublique.fr Consulter le dossier de presse  http://public.cceedfsa.fr/_docs/Fichier/2015/3-151204092345.pdf Commentaire de Franck :  Sur les barrages hydrauliques, c’est encore pire que la mise en concurrence! EDF n’aura pas le droit de répondre à l’ »appel d’offre » sur un nombre conséquent de barrages ! Au nom de la concurrence, la commission européenne, estimant qu’EDF est en position de monopole,  demande (demande acceptée par le gvt) qu’elle ne puisse pas concourir aux appels d’offres … Lire la suite…

Etat d’urgence ! ? méfiance..

« Un peuple prêt à perdre un peu de liberté pour plus de sécurité finit par perdre les deux ». Benjamin Franklin Etat d’urgence : l’Etat policier pour éviter tout bilan critique Communiqué de la Quadrature du Net http://blogs.mediapart.fr/blog/pascal-maillard/201115/nous-ne-cederons-pas un appel à la solidarité et la défense des libertés. Philippe Martinez (CGT): «L’union nationale, ce n’est jamais bon pour la démocratie» Pierre Dharréville (PCF) : La République avec le peuple La parole aux 6 députés ayant voté contre l’Etat d’Urgence

de Villepin + juge Trévidic + Conesa + Bayart + Bonaldi : la lucidité – documents

Voir aussi : Le juge Trévidic dénonce la politique du monde qui a laissé Daesh prospérer  http://geopolis.francetvinfo.fr/le-juge-trevidic-denonce-la-politique-du-monde-qui-a-laisse-daech-prosperer-86213  et Pierre Conesa : « Le terrorisme ne se combat pas par la guerre » Le terrorisme ne se combat pas par la guerre, article de Pierre Conesa  dans Marianne/ 14 octobre 2015 et Jean-François Bayart : « le retour du boomerang » Le retour du boomerang, dans Libération du 15 novembre et Jacques-François Bonaldi : « A qui la faute ? » A qui la faute ? par J.F. … Lire la suite…

Le FN, parlons-en !

 Les Faux-semblants du FN : un ouvrage salutaire. Parution Octobre 2015 « Sociologie d’un parti politique », ouvrage collectif, Presses de Sciences-Po Salutaire parce que ses 21 auteurs passent la formation d’extrême droite au crible des sciences politiques, de la sociologie, de la statistique. Parce qu’ils démontent les clichés véhiculés par les médias. Ils donnent du même coup des outils de combat.   Dans l’Humanité du 2 novembre 2015 Philippe Torreton démonte le FN Le programme du FN est un non-sens, c’est un suicide collectif … Lire la suite…

Europe : la fuite en avant vers un fédéralisme autoritaire

C’est l’irruption de Syriza et la peur de la contagion qui ont poussé les dirigeants européens à relancer ce débat. Règles budgétaires renforcées, contrôles automatisés : le nouveau projet franco-allemand est défendu depuis plus de 20 ans par le brutal ministre allemand Schäuble. Lire la chronique de Francis Wurtz à ce sujet

Les nouveaux chiens de garde, le film

  Film de Gilles Balbastre et Yannick Kergoat, 1h44 Synopsis : En 1932, l’écrivain Paul Nizan publiait Les chiens de garde pour dénoncer les philosophes et les écrivains de son époque qui, sous couvert de neutralité intellectuelle, s’imposaient en véritables gardiens de l’ordre établi.Aujourd’hui, les chiens de garde sont journalistes, éditorialistes, experts médiatiques, ouvertement devenus évangélistes du marché et gardiens de l’ordre social. Sur le mode sardonique, Les Nouveaux chiens de garde dénonce cette presse qui, se revendiquant indépendante, objective et pluraliste, … Lire la suite…

Démocratie ? Pas en Europe.

J.C Juncker : « Il ne peut y avoir de choix démocratique contre les traités européens« . C’est clair et net : la démocratie en Europe il n’en est pas question pour eux. Les traités, imposés par eux, sont des textes sacrés. D’ailleurs les Français avaient voulu s’opposer en 2005 (victoire du NON au référendum), heureusement pour eux il n’en n’a pas été tenu compte. Dictature de la finance, mais dictature de fait… La Troïka n’a plus qu’à proposer la suppression des élections … Lire la suite…

Les mots glissants – Le détournement du sens des mots par l’idéologie dominante.

« On ne se méfie jamais assez des mots », écrivait Céline à la fin du Voyage au bout de la nuit. Le dossier « Les mots piégés » du n° 24 de la Revue du projet (février 2013) nous invitait déjà à « lessiver » les mots, selon la formule de Brecht, pour retrouver leurs sens véritables. Nous poursuivons cet essai d’éducation populaire en nous attaquant aussi aux expressions glissantes et à quelques autres tromperies. Le dossier de « La revue du projet » n°48 de Juin … Lire la suite…

Florilège de la pensée unique

Lu sur regards.fr. Pour démystifier le bréviaire des « réformes nécessaires » et de la « réalité » qui exige des « efforts de tous » (sauf de ceux qui les prônent). Cet assemblage d’interviews montre l’idiote et grotesque répétitivité. Il faut convaincre « qu’il n’y a pas d’alternative », d’où le matraquage. Six chapitres –>    1 – réformes, 2- réalités, 3 – modernité, 4 – efforts, 5 – rigidité # liberté, 6 – augmenter le temps de travail. Le langage commun de tous nos libéraux. Le langage … Lire la suite…

Islamisme et dictature, les deux faces d’une même pièce

Kamel Daoud et Alaa el Aswany : deux écrivains arabes dialoguent au cœur des convulsions du monde.
Dans l’Humanité  Mardi 2 JUIN, 2015

Les auteurs, l’un égyptien, l’autre algérien, échangent sur le printemps arabe, le poison islamiste, les droits des femmes… entretien exclusif.

Le premier est égyptien. Le second est algérien. Alaa El Aswany et Kamel Daoud sont deux figures de la littérature universelle, deux intellectuels arabes qui, par leur écriture et leur engagement, posent un regard lucide sur les mouvements du monde. El Aswany était place Tahrir dès les prémices de la révolution égyptienne, et auparavant dans l’immeuble Yacoubian où il décrivait à travers les portraits savoureux des locataires de cet immeuble niché au cœur du Caire la corruption et la montée de l’islamisme. Daoud a traversé la « décennie noire » avant de prendre la plume pour exorciser les démons de l’obscurantisme et s’aventurer dans une langue française qu’il a faite sienne. Elle fut le « butin de guerre » de Kateb Yacine, il en fait son « bien vacant ». L’un et l’autre parlent librement. Du pouvoir politique, de l’extrémisme religieux, de la corruption, de la démocratie, de la révolution et des femmes. Leurs propos se situent à contre-courant du flux d’informations anxiogènes qui nous empêche de penser. À la lecture de leurs ouvrages respectifs, on mesure combien l’un et l’autre sont visionnaires, à l’instar de tous les poètes. Alaa El Aswany et Kamel Daoud sont pareils à ces lucioles dont Pasolini déplorait la disparition et qu’ils rallument dans la nuit.

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