Contre le chômage, « ils » essaient tout sauf… ce qui le réduirait vraiment. La raison est simple: « Ils » restent dans la logique de la mondialisation néolibérale, de la course effrénée à la compétitivité par les bas coûts salariaux et les bas coûts de l’Etat, de l’austérité pour le plus grand nombre.
Cette course est un mauvais jeu à somme négative pour l’emploi, et même les pays ou le chômage semble faible voient croître la pauvreté salariale et la pauvreté tout court, parce qu’on y encourage les petits et mauvais boulots en détruisant des protections sociales.